Parkinson ? Alzheimer ? maladies dégénératives diverses…. Et si nous prenions les devants ?

La multiplication des problèmes neurologiques chez des personnes de plus en plus jeunes est à mettre en lien avec la présence de plus en plus fréquente des métaux lourds et toxiques dans notre environnement.

Arsenic, cadmium, nickel, plomb, aluminium … et n’oublions pas aussi les pesticides, les herbicides, les parabènes, les dioxines, les stupéfiants, les résidus de médicaments…- tous ces éléments toxiques peuvent se déposer dans l’organisme, dans n’importe quel tissu, à l’extérieur comme à l’intérieur des cellules, notamment des cellules nerveuses.

 

Malheureusement, nous ne pouvons pas toujours nous soustraire à l’ingestion de tous ces produits toxiques. Ils pénètrent dans notre organisme de multiples façons :

  • certains s’évaporent et pénètrent dans les tissus par la respiration, ils passent des poumons dans le sang et se déposent ainsi à plusieurs endroits du corps
  • à partir de la muqueuse buccale- plombages entre autres – d’autres passent directement dans les vaisseaux lymphatiques, et les veines du maxillaire supérieur les conduisent directement au cerveau
  • beaucoup transpirent au niveau de la muqueuse intestinale- ingestion de produits contaminés, de médicaments
  • d’autres encore pénètrent par perspiration lors de l’application de crèmes, shampoings, teinture, parfums…
  • et d’autres directement par vaccination, anesthésie, etc.

 

 

 

 

 

Plus de renseignements sur les sites http://www.silver47.eu/metaux.html et http://www.intelligenceverte.org/les-pesticides-chiffres.asp

 

 

Comment évaluer la nécessité d’une détoxination ?

  1. Faire une anamnèse : les lieux de vie, de travail, les prises de médicaments, de pilule, les vaccinations, l’alimentation biologique ou non, la qualité de l’eau, les produits d’hygiène – shampoings, teintures, savons, crèmes, dentifrices-, le nombre d’amalgames dentaires, le nombre d’anesthésies…
  2. Test de la fonction hépatique à découvrir en cliquant sur ce lien
  3. Test de carence en iode (l’iode protège des agressions et augmente notre résistance) : avec un coton tige, déposer quelques gouttes d’une solution iodée sur l’avant bras. Noter la durée d’absorption (disparition de la tache). Plus la tache disparait vite, plus la carence est nette.
  4. Recherche des symptômes pouvant être reliés à une intoxication.
  5. Suggestions sur le site http://www.silver47.eu/metaux.html

 

 

Que peut-on envisager face à une intoxication ?

 

Si les symptômes sont uniquement physiques : douleurs, problèmes de peau, allergies, arthrite, alopécie, fibrose et kystes, saignement des gencives, hypertension, troubles digestifs, faiblesse musculaire, etc.

On pourra procéder à une cure de zéolithe, avec soufre et éventuellement iode – en fonction du résultat du test 3 précédent.

 

Si les symptômes touchent principalement le système nerveux : hyperactivité, problèmes de concentration et de mémoire, maladies mentales, insomnie chronique, maladies de Parkinson, d’Alzheimer, autisme, tremblements, retard d’apprentissage, trouble de la parole, AVC, etc.

 Il est conseillé de faire une cure de chlorella, associée à de l’ail des ours et de la coriandre.

 

Mais, attention ! Lorsque l’on commence un traitement par chélation, il faut absolument enlever le maximum de toxines avant qu’ils ne parviennent au cerveau.


Ainsi, une fois cette étape terminée, et avec l’aide d’autres substances associées au chélateur, on ouvre la barrière hémato-encéphalique aux métaux lourds et toxiques, leur permettant de se répandre du système nerveux vers les autres tissus qui eux, sont beaucoup plus faciles à nettoyer. Ainsi, il est important de respecter l’ordre suivant dans les étapes : nous administrons d’abord des substances qui nettoient les vaisseaux sanguins, les organes, les émonctoires, les tissus conjonctifs, etc puis les substances qui nettoient le système nerveux.

 

Il faut parfois compter plusieurs mois avant d’avoir les résultats espérés lorsqu’on se trouve en face d’une maladie avérée : Parkinson, Alzheimer, démence sénile, scléroses diverses, etc. Cependant, on peut aussi tirer de grands avantages à agir de manière préventive, et libérer au fil des ans les éléments toxiques. La fréquence à laquelle ce genre de cure est à renouveler est à évaluer en fonction des sources d’intoxication auquel le patient est soumis, de sa capacité propre à détoxiquer, de son potentiel vital, etc.